Global Investment Views - Avril 2022
Le premier mois de guerre entre la Russie et l’Ukraine a entraîné une hausse généralisée de la volatilité, malgré quelques signes récents de stabilisation sur les marchés d’actions.
Lundi 08 juin 2020
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Depuis le début de la pandémie de coronavirus, tous les yeux sont tournés vers la catastrophe sanitaire en cours et les conséquences du confinement : les économies se sont arrêtées, faisant exploser les taux de chômage (en particulier aux États-Unis) et augmenter les niveaux d'endettement. Dans ce contexte extraordinaire, l'inflation a souvent été négligée. Selon nous, c'est un oubli dangereux. Aujourd'hui plus que jamais, il est crucial pour les investisseurs de rester très attentifs à cet indicateur - notamment en raison du fait que nous sommes peutêtre au début d'un radical changement de régime...
Le premier mois de guerre entre la Russie et l’Ukraine a entraîné une hausse généralisée de la volatilité, malgré quelques signes récents de stabilisation sur les marchés d’actions.
Lors de sa réunion de juillet, la BCE a relevé ses trois taux directeurs de 50 pb pour la première fois depuis plus d'une décennie, ramenant ses taux en territoire positif.
Alors que les émissions de carbone augmentent lentement malgré les efforts entrepris pour les réduire, les engagements envers « zéro émission nette » ont toutefois bondi. Si la fixation d'objectifs climatiques était auparavant l'apanage des acteurs publics, ce n'est désormais plus le cas. Les investisseurs sont de plus en plus présents et des alliances zéro émission nette existent pour toutes sortes d'institutions financières (détenteurs d'actifs, banques, gestionnaires d'actifs) et à travers de forum stratégique sectoriel comme le Glasgow Financial Alliance for Net Zero.